Une grâce cossue
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Une grâce cossue
Une grâce cossue
Quand la dormeuse éveille ainsi l’inassouvi,
Alors le jour s’estompe en moi, et la lumière
S’éloigne du réel, c’était le dernier cri
Du poète inspiré de son aventurière.
Dans l’océan salé, j’ai perdu le vaisseau
Du souvenir, la rive était la solitude
D’une mère pérenne, Ô dieu tu étais l’eau
Et moi le sable chaud d’une bise très rude.
Une grâce cossue où j’ai laissé la nuit
Prendre mes sentiments, et colorer mon ombre
Avec son révolu ; l’horizon convainquit
Mon regard éloigné et règne la pénombre.
En aucun temps j’ai pu aimer la raison,
Et qui m’a fait souffrir aux aubes pluvieuses,
Un sel assaisonné d’éloges, un bouillon
Parfumé de piments, époques glorieuses.
L’essentiel s’enfoui dans mon inconscient
Humain, j’entends le cri des autans cycloniques
Empoisonné le sang d’un esprit prescient.
L’astre de feu bravait des candeurs angéliques.
James le 09/03/2011
Quand la dormeuse éveille ainsi l’inassouvi,
Alors le jour s’estompe en moi, et la lumière
S’éloigne du réel, c’était le dernier cri
Du poète inspiré de son aventurière.
Dans l’océan salé, j’ai perdu le vaisseau
Du souvenir, la rive était la solitude
D’une mère pérenne, Ô dieu tu étais l’eau
Et moi le sable chaud d’une bise très rude.
Une grâce cossue où j’ai laissé la nuit
Prendre mes sentiments, et colorer mon ombre
Avec son révolu ; l’horizon convainquit
Mon regard éloigné et règne la pénombre.
En aucun temps j’ai pu aimer la raison,
Et qui m’a fait souffrir aux aubes pluvieuses,
Un sel assaisonné d’éloges, un bouillon
Parfumé de piments, époques glorieuses.
L’essentiel s’enfoui dans mon inconscient
Humain, j’entends le cri des autans cycloniques
Empoisonné le sang d’un esprit prescient.
L’astre de feu bravait des candeurs angéliques.
James le 09/03/2011
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